En nous concentrant sur la migration, la technologie et les droits de la personne, nous nous interrogeons de manière active sur les expérimentations technologiques réalisées sur les personnes qui traversent les frontières.

Nous avons pour mission d’observer les technologies de surveillance, l’automatisation et l’utilisation de l’intelligence artificielle dans le contrôle et le suivi des personnes en déplacement, ainsi que la prise de décisions à leur sujet. Le but du Monitor est de mettre en lumière les répercussions profondes de ces méthodes et politiques sur les droits et la vie des personnes, et de soutenir les groupes qui travaillent sur ces problèmes.

Notre TROISIÈME rencontre annuelle BOURSE ANNUELLE POUR LES PERSONNES EN MOUVEMENT est OUVERTE aux candidatures.

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plus et soumettez vos documents avant le 31 décembre 2024 !

Un outil d’observation et d’archivage, et une plateforme pour une interrogation critique sur la migration et la technologie

La détention de migrants à la frontière dans tous les cas. L'expulsion illégale de 7 000 étudiants étrangers accusés d'avoir triché à un examen de langue. L’utilisation intrusive de drones de surveillance en lieu et place de sauvetages en mer. 

Qu’est-ce que ces trois situations ont en commun ? Dans chacune de ces situations, l’expérimentation technologique a eu de graves conséquences sur la vie des personnes. Notre but est d’apporter un éclairage à leur vécu.

Participation de la communauté internationale en partant des personnes concernées elles-mêmes

Migration & Technology Monitor (« le Monitor ») est un système d’archivage et une plateforme de partage d’informations fournies directement par les migrants, les réfugiés et les personnes en déplacement.

Nous mettons l’accent sur les façons créatives, responsables et efficaces d’informer le public des implications sur les droits de la personne de situations documentées par notre équipe, et de donner aux défenseurs et fonctionnaires les moyens d’agir dans ces domaines.

« Nous sommes noirs et les garde-frontières nous détestent. Leurs ordinateurs nous détestent aussi. »

-ADISSU, qui vit sans statut d’immigration

Twitter : @migration_tech